À 5’30" le conférencier dit :
« Pour définir l’accélération on a besoin de définir les référentiels galiléens ; et d’un autre coté, un référentiel galiléen c’est un référentiel galiléen c’est un référentiel
qui n’accélère pas. »
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Ce n’est pas un référentiel galiléen qui nécessite qu’on définisse au préalable le concept d’accélération (dérivée par rapport à la durée de la vitesse), mais un référentiel non galiléen. Nuance.
En vérité : « Un référentiel galiléen est défini comme un repère
cartésien, de l’espace supposé affine, dans lequel le mouvement de tout
corps non influencé par une force est rectiligne uniforme. »
Donc le deuxième gars de la vidéo, il commence mal.
Ceci dit, s’engager dans des considérations d’accélérations, de masses et que sais-je encore, c’est de mon point de vue une façon de chercher à expliquer pourquoi on vieillit a priori différemment dans deux espaces différents. On n’a pas besoin de ça pour démonter le pseudo-paradoxe des jumeaux, lequel n’est qu’un malentendu fondé sur une interprétation de vulgarisation par trop enthousiaste .
Pensez donc : voyager dans le temps Quel pied. Il n’est que de voir le foisonnement qui s’est ensuivi sur le thème des uchronies toutes plus ingénieuses les unes que les autres.