’’j’ai 81 balais cloué chez moi pour invalidité.’’
Nous sommes quelques un dans mon entourage, à avoir dans ces âges là, mais je n’en connais aucun qui, cloué chez lui ou cavalant encore allègrement, ne demanderait à la jeunesse de se sacrifier pour lui.
Je ne crois pas à vos sornettes : à 81 ans il n’y a que les gâteux qui insultent comme vous le faites.
vous avez en effet le droit de dire à la cantonade que vous faites ce que vous voulez quand vous faites tout ce que vous disent les gendarmes et la police de la pensée.