Les premiers fossoyeurs de Peugeot, ce sont avant tout les syndicats, qui bloquent toute adaptabilité. Résultat, la fermeture de l’usine d’Aulnay, usine peu rentable car complètement gangrenée par des CGTistes qui ne défendent pas la filière auto en France, mais leur petit confort.
à force de dire que les bénéfices d’une entreprise, c’est mal, l’entreprise va mal le sort d’Aulnay va s’étendre à toutes les usines du groupe..
Peugeot mourra si cette marque reste indépendante. Son seul salut, c’est d’appartenir à un grand groupe qui doit faire le ménage et moderniser, le matériel et les mentalités.