Viviane Monnier, directrice du foyer pour femmes battues Louise Labé, explique que sa libération serait une banalisation de la violence.
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Alors ça c’est une belle, une énorme connerie ! C’est pas parce que monsieur Cantat est libéré que je vais commencer à frapper ma copine. Faut sortir de votre référenciel ultra féministe à la noix ; tous les mecs sont pas des salauds.