Merci de vous documenter sur le site de la veille sanitaire : http://www.invs.sante.fr
Les chiffres annoncés sont tout à fait exacts et la démarche est légitime, on ne parle pas d’une légère différence mais d’une prévalence oscillant entre 10% et 20% (de malades dont énormément s’ignorant) de la population homosexuelle. C’est tout simplement énorme par rapport aux 0.2% de la population hétérosexuelle.
Cela fait 1 sachet de sang sur 5 contaminé, avec autant de risques que le test VIH soit un faux (aucun test n’est efficace à 100%).
Ce n’est pas un ségrégationnisme mais une mesure de santé publique.
D’ailleurs la ministre l’affirme bien à la fin, le jour où cette prévalence chutera, cette interdiction sera levée.