Duhamel nous fatigue. Chien de garde du libéralisme giscardien, cet acrobate de la brosse à reluire astiquera peu ou proue tous les postérieurs qui se présenteront à lui, comme il le fait depuis les débuts de la Ve. Il n’est que fasciné par le pouvoir, jamais rien d’autre.
Ces dernières années, voyant qu’il vieillissait, il se mit à ruer dans les brancards et à vouloir se faire passer pour un journaliste impertinent.