Tant que l’on fait croire aux gens que le meilleur système est le pire, qu’un des pires est le meilleur.
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Tant que les gens acceptent le diagnostique qui leur est imposé, pourtant malgré toutes les évidences situées juste sous leurs yeux, comme l’importance considérable du patrimoine culturel dont nous avons hérité de ce "pire des systèmes", comparée aux laides banlieues en béton du "meilleur des systèmes".
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La fuite en avant dans le n’importe quoi continuera.
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Tant qu’à changer de système, autant opter pour le meilleur. Changer le meilleur système, c’est aboutir au pire.
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Mais ce ne sera pas l’ancien système. Ce sera le meilleur d’aujourd’hui (services publics financés par répartition), et le meilleur d’hier (reflux du salariat, du capitalisme féodal, travail libre et convivial).