Nous ne sommes pas condamnés à une augmentation perpétuelle de la dette. Une augmentation des recettes fiscales, notamment en alignant la taxation des revenus du capital (actuellement 18%) sur celle du travail (environ 40%) permettrait de dégager 100 milliards par an, soit 2 fois la charge de la dette. Et je ne parle des niches fiscales (niche Copé, abatements divers, etc....).
Revenir au franc déclencherait une flambée de l’inflation, c’est-à-dire une baisse énorme de pouvoir d’achat, surtout pour les plus modestes.