Ah bon ? Tout compris ? Vraiment ?
Si on relance la machine économique intérieure, les PME en seront les premières bénéficiaires en...
retrouvant leur clientèle.
A moins que mon maçon se mette à construire ou réaménager nos maisons à Pékin quand mon boulanger pourra me vendre à Bucarest une viennoiserie pour agrémenter mon petit déjeuner ?
Quand on reste en Eurozone, on peut parfaitement se battre et relancer les négociations pour en revoir les règles, car rien, jamais, n’est immuable.
Cela s’appelle le progrès.