Les interdictions ne se justifient que dans des cas très graves, condition qui me semble exister dans le cas de l’UOIF :
- invitations régullières de fanatiques genre Qaradawi, qui vont jusqu’à l’appel au meurtre
- volonté persistance d’instaurer une législation parrallèle pour les musulmans et de créer une communauté distincte qui serait une sorte de pouvoir politique rival de la République
- sexisme, homophobie, ...
Pour les cas de gravité moindre (SOS Racisme, Licra ...), la solution consistant à cesser de les subventionner me parait suffisante.
Et surtout, il faudrait arrêter de persécuter les associations et sites (Riposte Laique, Fdesouche ...), qui, avec des moyens dérisoires, tirent la sonnette d’alarme depuis des années et ne sont entendus provisoirement que parce que l’affaire Merah coïncide avec une période électorale.