Il est capital que les médias des pays voisins de ceux où la presse est mise à mal, dénoncent la dictature.
Un coup d’épée dans l’eau, probablement ! Mais ne pas le faire, c’est se rendre complice de ce qui ne manquera pas d’arriver si les voyoux de la planète continuent à marcher bras dessus, bras dessous vers la boucherie.