La révolution française est essentiellement une oeuvre franc-maçonne (477 députés francs-maçons sur 600 et quelques à la constituante) et de la mondanité parisienne (salons de lectures). D’où l’absence de réel fond idéologique (les loges produisent chacune leur idéologie et se concurrencent), hormis globalement l’anti-christianisme.