Où Cohen se trompe c’est que le crédit facile n’a pas stimulé l’économie grecque. Il a juste gonflé le volume des importations.
Les grecs n’ont pas utilisé cet argent emprunté pour créer des richesses et des moyens de productions mais pour consommer, cela ne pouvait bien sur tenir bien longtemps.
Au fur et mesure que le niveau de vie des grecs s’élevait, la balance commerciale creusait un déficit aussi abyssal que l’endettement de l’état..