Bonne remarque de Famine. Dans un régime libéral l’Etat ne serait évidemment pas en charge de la formation ou de l’éducation. il reviendrait aux acteurs privés de financer ces secteurs dans le cadre d’une coopération libre et pacifique. En situation actuelle de quasi-monopole il revient aux bureaucrates de les planifier, inutile de préciser avec quelle réussite, l’état n’est pas capable de se substituer au marché libre.