A propos, où en sont ils les financiers du remboursement des emprunts russes ? "Dans les années 1920, des enquêtes montrent que le gouvernement russe
avait mis en place une véritable organisation de corruption de la
presse française, avec des intermédiaires rémunérés, des comptes en
banque secrets et des représentants quasi officiels à Paris. Parmi eux, Arthur Raffalovitch représentant du ministère des Finances russe à Paris et correspondant de l’Institut6 L’enquête établit qu’il a distribué 6,5 millions de francs7
(environ 23 millions d’euros de 2005), entre 1900 et 1914, à de
nombreux titres de la presse parisienne, de manière à assurer le succès
du placement des emprunts russes dans le grand public : c’est l’Affaire Arthur Raffalovitch.
Dans une lettre adressée le 2 novembre 1904 au ministre des Finances
russe, il écrit : « J’ai l’honneur de remettre à Votre Excellence les
chèques payés par l’agent Lenoir pour le concours donné par la presse
française durant le mois de septembre. La liste des journaux bénéficiaires inclut tout l’éventail politique dont des journaux d’opposition de gauche, comme L’Evénement, La Lanterne, Le Rappel, La France, et Le Radical9. "
Rien n’a changé la presse est toujours aussi corrrrrrrompue... !