C’est étonnant de votre part, Erwanet, de relayer la confirmation que le travail rend malade, même les patrons, et qu’il faut d’urgence le réformer. Ce masochisme stakhanoviste qui pousse à sacrifier sa personne, son entourage et ses employés devrait être traité pour ce qu’il est : une faiblesse pathologique, une peur irrationnelle de l’échec, un mal du temps.