Les Médias capitalistes ont pour tâche de nous vendre de la fatalité ; et les intellos traitres, soit presque toutes les stars de la "pensée" façon Jacques Attali, Alain Minc, BHL et compagnie, s’efforcent de prêcher le calme et la docilité aux foules.
La vérité est que ce bordel ne cessera que le jour où nous massacrerons sans vergogne ces fils de pute - banksters, propagandistes et larbins idéologues - au coupe-coupe, au cutter, à la batte de baseball cloutée, au lance-flamme...
Un bain de sang : il n’y a plus que ça contre l’hyper-violence des riches... c’est bien triste, mais qui l’aura cherché ? Qui est le vrai coupable - du prolo qui le guillotine ou du bourgeois qui l’exploite, du financier qui le rackette ?
Il faut que les choses s’aggravent encore : tant que le peuple n’aura pas été saigné à blanc, il courbera l’échine. Ce n’est qu’un fois les trois quarts de la "populace" acculée à la faim qu’on verra les banlieues déferler dans les quartiers centraux de Paris, où vivent les parasites d’en haut. Certes, ce sera pas beau à voir : un moment de justice et de vérité monstrueuses...
La lutte des classes devient l’absolu, presque le moteur exclusif de l’Histoire contemporaine ; du moins de son pourrissement stratégiquement à des fins oligarchiques. La haine de ses élites globalisées intrinsèquement fascistes et même sataniques : voilà le ciment du peuple et des peuples, l’ultime rempart de notre humanité.