C’est en effet à mettre en parallèle.
Pour les arts contemporains, le beau n’est qu’une question d’habitude, donc on peut faire des choses laides, car quand tout sera laid, on prendra le laid pour le beau...
La recherche de vaine gloire révolutionnaire aidant, les canons de la beauté historiques ont été rangé dans le placard, comme des vieilleries archaïques...
Hélas, le beau est beau. C’est mystérieux que l’on ressente le beau, mais c’est ainsi.
Par conséquent, l’art contemporain est laid, pour toute l’éternité.