Ah, les beaux parrains que voilà : Le Pen pour le fils et Salazar pour le père.
Concernant Jacques Ploncard, vous oubliez sa période au PPF de Jacques Doriot, sa collaboration sous Pétain, sa condamnation à mort à la libération et sa fuite au Portugal....
D’Assac est par ailleurs un nom d’emprunt, ça fait plus aristocratique, n’est-ce-pas ?
Petit, tout ça est petit, comme il est petit de bidonner la traduction d’un article pour passer un mensonge. Je n’ai parlé de ces personnages que parce que Nauseabond citait P.Ploncard comme source digne de foi.
Leur obsession antisémite et anti-maçonnique leur ont fait noircir des milliers de pages,soit, mais qui les lit ?
Une petite poignée de nostalgiques de la France de Pétain.