A Gerfaut :
Aucun poisson ne sera noyé, surtout pas avec les quelques
gouttes d’eau dont fait état votre journal de référence, le Figaro.
C’est à d ‘autres altitudes
que se déplacent les vautours qui ne manquent pas d’air, et pour être
concret, même si je vous accorde que le costume pour certains était un peu
large, et que certaines erreurs ont pu être commises, tout ce qui est vaguement
explicité dans votre journal, qui amalgame dans le même article plusieurs
entreprises distinctes bizarrement proches de l’état, n’ est que de la roupie
de sansonnet, le gros souci est, je le
répète, qu’on a retiré 60% de ses capacités financières au C.C.E, brutalement.
Qu’ Air France en
période de vaches grasses a pendant un certain temps maintenu le navire à flot,
mais n’a pu continuer bien longtemps, pour les raisons que tout le monde
connait.
Que le C.C.E doit réduire sa voilure maintenant, en vendant
des centres de vacances.
Il n’en reste pas moins que le C.E lignes navigant dont
bizarrement votre Figaro ne parle pas, va lui très bien, 1 où 2 % d’un salaire
de pilote étant bien sûr plus profitable que celui d’un manutentionnaire.