Que ferait Bedos sans l’invention du prompteur ? Le pauvre bobo gôcho
fils de ringard a une telle misère dans sa vie, devoir se justifier de ne
penser qu’à rigoler alors que d’autres ne sont pas dans le rire
permanent, surtout lorsque ses chroniques n’incitent même pas au
sourire. Oui, il faut un minimum de talent pour faire rire, sans
prompteur, sans être le fils de et sans se prendre pour le nombril du
monde qui pour lui commence et s’arrête au microcosme médiatique
parisien. Où les flics sont trop durs de l’arrêter quand il boit en
conduisant. Pays de fachos qui se permet d’arrêter un fils de bourré sur
son scooter et qui se vautre lamentablement dans le caniveau de sa
médiocrité constante.