Eh oui, Soral reste le produit du show bizz et de la télé (qu’il vomit régulièrement) et l’enseignement majeur qu’il en a tiré, c’est que l’exploitation de la connerie humaine est un filon sans limites.
Mais le défi de son projet et de sa fonction force presque le respect :
Arriver a faire voter son troupeau de métèques "Black, blanc, beur" islamisé pour le parti le plus anti-métèques, anti-bougnoules et anti-bamboulas tiendrait réellement de la performance olympique si la bêtise de ses fans n’était pas aussi illimitée.