L’horreur cinématographique dans toute sa splendeur : 1 minute 30 de bande-annonce suffit amplement pour avoir envie de vomir son 4h.
C’est effectivement de la propagande pro-métissage /citoyen du monde (il n’y en réalité de seul "citoyen du monde" que les membres de l’hyper-classe à 15 000 euros par mois et quelques crétins gauchistes de 20 ans qui servent d’alibi à cette abomination).
Une seconde remarque sur la représentation de la classe sociale, bourgeoise catholique représentée : ça concerne combien de personnes en France sérieusement ? Très peu.

Donc c’est marrant pour un film aux gros sabots, ça fait un canevas qui parvient apparemment -vu le nombre de gens qui vont voir ce machin-, à permettre aux spectateurs de s’identifier au couple Clavier/Lauby, mais c’est un leurre, car cette France n’existe pas ou peu.
En effet, l’exotisme de certains de nos concitoyens, dans les classes populaires, cela fait bien longtemps que nous y sommes confrontés, à la cohabitation, quand ceux-ci veulent bien se mélanger, avec des arabes, des noirs ou des asiat. 

Et surtout, y’en a vraiment marre de subir cette grossière propagande du métissage obligatoire, on n’est pas des ******* d’animaux que l’on fait se reproduire et se croiser.

Les histoires d’amour ne concernent que des individus qui ont fait un choix qui s’avère souvent périlleux. Et là on en reparlera si un gars couillu (avec un producteur) fait un film sur la difficultés d’être métisse et d’avoir une double identité. Et dernière remarque, le métissage affaiblit la diversité et le maintien des cultures (tant africaines que française par exemple) et contribue évidemment, faut-il encore le rappeler, à l’apparition du citoyen-consommateur global, sans identité réelle autre que celle du centre commercial qui saura, de Bayonne à Islamabad, combler sa perte identitaire par la Marchandise, l’avoir plutôt que l’être.

Bref, ce film est évidemment de la merde en barre à ne pas aller voir.