Machiavel, je laisse de côté l’esthétique littéraire. Sur le fond politique, vous oubliez que Napoléon était un grand populiste et que l’aura du petit tondu a longtemps été promue et défendue, non pas dans les salons mondains, mais au coin du feu dans des chaumines humides.
Je ne l’ai pas connu (! !!) mais il me semble que Napoléon possédait à l’avenant la grandeur indomptable et des dehors prosaïques au quotidien qu’appréciaient les petites gens. Un homme sachant s’accommoder de peu quand il le faut et gros du génie qu’on lui connaît, c’était certainement plus attachant qu’une grosse otarie poudrée, avachie dans un confort éternel et prête à détaler en Belgique au moindre coup de canon...