Trops de blabla et d’idéologie mais la solution est évidemment là.
A partir du moment où l’on touche un dividende universel (sur le progrès collectif), alors techniquement le chômage disparait. On peut alors travailler de temps en temps pour passer de la simple survie au mieux vivre.
D’un certain point de vue, c’est assez proche du système cubain, qui assure santé, logement, nourriture et vêtements contre un travail obligatoire quasiment pas rémunéré. En pratique, ceux qui veulent plus que ce minimum font du travail au noir.
Mais passé un certain niveau de développement, le travail obligatoire est assuré globalement par des machines automatiques.
De toute façon, nous y sommes quasiment déjà, avec le RSA, l’assurance chômage et la retraite. Il suffit juste de pousser la logique un peu plus loin.