C est marrant quand même, je reprends point par point ton premier argumentaire et quand je lis ta réponse à la mienne, j ai l impression que tu t es simplement relu et que tu projètes sur moi tout ce que contenait ta première intervention.
Non, je ne considère pas l enfant comme une possession. A tel point que je pourrais tout à fait élever un enfant dont je ne suis pas le géniteur. Et c est ce qui semblait te déranger au départ puisque tu parlais de l enfant d un autre. Si c est celui d un autre ce n est donc pas le tien, tu classes, tu ranges, comme des objets et des possessions.
Diluer n a jamais été abolir. C est simplement diviser. Pour autant, l accumulation des petites charges peut revenir au même qu une seule grosse. Mais au moins, ça permet de fractionner et d avoir l opportunité d échanger avec ceux avec qui on partage ces charges et du coup, de se sortir de cette responsabilité, ne plus se noyer dedans et être capable plus simplement d analyser les justesses et les erreurs.
Tu parles d aimer connaître ses origines. Qu est ce qui empêche l enfant élevé par la communauté de les connaître ? Je ne comprends pas bien ou tu vas chercher ça ?