Ça part bien. La critique de Ruquier et de la télé est pertinente.
Et puis, ça retombe dans la robinade habituelle : dénonciation d’un marxisme omniprésent, apologie du libéralisme et du patronat, défense d’Israël et appel révolutionnaire aux bonnes volontés et à la solidarité ("Je prêche dans le désert, me laissez pas tout seul !").