@Chitine @Quaspard
On peut dire que Nietzsche eut une fougue parfaitement virtuelle, posée par écrit, car il a fini sa vie dans la prostration la plus totale, quasi-végétatif, est-il écrit sur wikipédia.
Son agitation interne n’avait d’égal que son inaction externe.
Sa recherche livresque de la volonté n’était rien d’autre que la complainte de l’absence d’efficience de sa volonté dans le monde réel.
Nietzsche s’est consumé de l’intérieur, frénétiquement, il a bouffé toute son énergie vitale par l’incapacité de réguler ses agitations internes. C’est pourquoi Nietzsche, finalement, n’a fait que se complaindre, il n’a fait qu’appeler de ses voeux, ce qui lui manquait et qu’il n’a jamais pu trouver. C’est l’histoire d’un homme impuissant et sans volonté, qui écrit frénétiquement sur la volonté de puissance...