Il est dans les usages de la diplomatie concernée de formuler des accusations infondées ou travesties. Nous dirons que c’est, à la limite, "de bonne guerre."
Depuis la fiole brandie à l’ONU et les affirmations sur les armes de destruction massive détenues par l’Irak de Saddam, seuls les benêts ou les béats accordent créance aux déclarations venues d’outre atlantique.
Mais le petit caniche Fabius, dans son extrême servilité, a dépassé son maître Kerry en la matière.