@Heimskringla
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Ce qui me parle aussi c’est la sensation de dualité que vous évoquez (sorry je vous ai tutoyé plus haut, l’habitude...) avec de profondes contradictions et le sentiment de douter en permanence...
Je n’aurais pas l’impudence d’agrémenter mon expérience personnelle d’une dimension universelle qui n’a pas lieu d’être, mais peut-être avons-nous en commun cette obscure fascination introspective, autant jouissive que douloureuse, voire destructrice si on n’y prend garde...ces voyages intérieurs, immobiles, sont beaux et vertigineux, on y puise mille splendeurs et autant de douleurs, du plaisir et du danger...c’est effectivement d’une extrême complexité...les mots, les pensées se bousculent, je ne puis aller plus loin à l’instant présent...
"Les voies aériennes,
les pensées limpides...
La vie quotidienne
vidée de l’insipide...
La vision périphérique du monde,
l’instinct aiguisé sur le genre humain,
l’intuition et les paroles fécondes,
la vue joyeuse des lendemains...
C’est Toi, mon amie, qui me porte,
me transporte, m’emporte
vers ces célestes splendeurs,
ces neiges éternelles
au bien-être enchanteur
beau et ascensionnel...
Restons en altitude
sous tes latitudes...
Ici bas sur terre
l’ennui m’atterre..."