Bien
sûr, Pranaitis, son évêque et le tsar savaient bien que personne
n’irait vérifier dans le Talmud. Il faut d’abord en avoir un et
ensuite faire un travail de recherche considérable. Sans compter que
s’il est déjà difficile de retrouver un passage existant, c’est
encore plus dur s’il n’existe pas