Il est trop gentil, Poutine, limite candide.
En représailles aux agissements américains qui vont peut-être faire abandonner à la Russie la construction du pipe-line qui lui permettrai d’approvisionner l’Europe en gaz, il se contente de virer 755 espions yankees et en laisse plus de 400 sur place. Cerise sur le gâteau : ce sont les USA qui choisiront les espions qui restent !