Quand les robots sexuels auront des droits, ils pourront porter plainte pour harcèlement, attouchement, agression, viol, etc., c’est ça qui va être drôle. La preuve d’un préalable consentement éclairé sera à la charge du "prédateur".
- Le robot plaignant : "Monsieur le juge, d’abord je n’ai pas opposé de résistance physique quand il m’a chatouillé les ressorts et fait glisser les pistons mais j’ai découvert plus tard qu’il m’avait manipulé mentalement par une insidieuse programmation en profitant de ma faiblesse quand ma batterie était à son plus faible niveau."
- L’agresseur supposé : "C’est même pas vrai, c’est cette putain de machine qui m’a allumé le premier."