L’excès de douleur commémorative affichée par les têtes d’affiches ne fait que révéler une fois de plus les vraies valeurs de ces élus : gagner énormément d’argent sans trop se fatiguer et sans trop de talent (sait faire des moulinets avec ses bras, quand même).
Et en plus s’il capte une partie d’argent public par l’intermédiaire d’un ami, N. S., qui lui offre des concerts publics à Paris, et est fiscalisé à l’étranger ?
Mais il aurait mérité des funérailles nationales, pour ses approches innovantes et admirables de l’argent facile (même Nico n’arrive pas à flamber comme lui, respect).
Ça se verrait trop donc bon, juste un discours, les télés et la presse voila. Vive l’argent facile, public et défiscalisable. La façon astucieuse de le proclamer sans le dire est d’encenser Johnny, le plus grand flambeur de la Terre français. Oyé, ce grand homme est mort !