En conclusion :
les bipèdes du XXIè siècle auront, au moins, le privilège de vivre les derniers instants de leur présence sur LA petite planète, trop petite pour tous les "Ego". Tout ça pour ça !
Cette dictature de la "modernité" n’est pas sans rappeler la tour de Babel : à trop vouloir se rapprocher du ciel... patatras.
En somme, le mythe
de la Tour de Babel met en scène des hommes qui essayent, non seulement
d’assouvir leur désir de gloire et de puissance, mais qui, surtout,
essayent pathétiquement de se transcender, alors même qu’il leur est
impossible de se détacher de leur essence : ils ne sont que des hommes,
pas des dieux.