@gaijin
L’acte d’enregistrer en connaissance de cause n’est pas en soi violent.
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Le déni dont a dû faire preuve le "thérapeute" pour en arriver là peut sans doute justifier ce type de passage à l’acte qui pouvait d’ailleurs potentiellement se dérouler en toute convivialité à condition que le dialogue s’engage. Pourquoi l’a-t-il fait s’installer de dos ? Telle est la question.
Le psy est d’une mauvaise foi et d’une couardise abjecte alors que le patient, ayant perdu patience après 14 ans, présente objectivement son besoin d’explications via une méthodologie préméditée non-violente (il aurait aussi pu décider de lui casser les jambes)