Une "opposition" quand même très présentable pour "Le Média", qui ne devrait pas mener à grand chose. On le voit à la réaction de Kouvelakis à propos de l’Italie, où il s’empresse de nier toute proximité avec les nouveaux dirigeants. Ou à propos des "migrants", où il prétend que les européistes, dont Tsipras, auraient une politique répressive, qu’il faudrait d’après lui inverser. Pas du tout le même son de cloche que Panagiotis Grigoriou, qui a la même origine idéologique que Kouvelakis et le même discours au départ. Pour évoluer ensuite vers une opposition forte à la clique de Soros, allant même jusqu’à prétendre que ce qui serait en cours en Grèce c’est le grand remplacement, les jeunes éduqués fuyant (en particulier en Allemagne), et des "migrants" s’installant dans des villages grecs. Je me demande de qui la population grecque est la plus proche.