Il faut se mettre à la place d’Etienne Chouard.
Sentir que l’on a la solution à pas mal de problèmes et avoir l’impression de n’être entendu que par une minorité de pensants, il faut un sacré moral.
Parti pour prêcher toute sa vie dans le désert.
Et voilà que spontanément surgit les gilets jaunes qui pris à la gorge sentent instinctivement que la solution de Chouard est la bonne.
Quelle agréable surprise que ça dû être pour lui.
L’instinct de survie fait oublier l’égoïsme car on est grégaire, balayés les paroles plaisantes des politiques. En condition de survie on ne voit que l’important.
On est dans un stade ou les discours de publicitaires ne passe plus.