Quand ma belle grand-mère, pas loin de 90 printemps, a passé
des heures sur le billard, j’avoue m’être posé cette question interdite.
Mais voilà que je m’oriente moi-même doucement vers le grand
âge. Et que je m’imagine dans la situation de ma belle grad-mère. Peu-être
aurais-je prié les toubibs de me fiche la paix, la paix éternelle.