Tes 8 exemples :
Le premier : "Après une enfance dans une tribu nomade, un apprentissage autodidacte de la lecture et un bac passé à Rakka"
Ah, il savait lire, lui !
Son message :"En France, ils ont des droits et des allocations, mais aussi des devoirs
et des obligations : ils doivent faire quelque chose pour ce pays !" Ah : un fasciste... Comme moi !
La 2ème : "Diplômée de l’université d’Alger, Fatiha Gas arrive en France pour faire son doctorat."
Elle savait lire aussi, celle-là...
Le 3ème : "ne pas hésiter à les faire dialoguer avec des entrepreneurs issus de
l’immigration qui ont réussi. « Je le fais de temps en temps. Le message
passe mieux quand on a les mêmes codes", dit-il.
Ah bon ? Les jeunes des "quartiers" ont pas "les mêmes codes" ? Ils vivent en France et "ils ont pas les mêmes codes" ? Comment que ça se fait, ça ?
Le 4ème : "« Quand j’avais 19 de moyenne, mon père, ouvrier algérien arrivé en
France dans les années 1960, me disait : "pourquoi 19 ? Tu as fait une
faute ?" » L’anecdote prête à sourire, mais révèle beaucoup de l’enfance
d’Abdelkrim Benamar. Depuis toujours, il adore les maths et les matières
scientifiques. Grâce à ses facilités et à de bons professeurs qui le
poussent à s’inscrire en classe préparatoire, le jeune homme intègre une
grande école d’ingénieurs."
Ah... Il a appris à lire ? Qui sait, ça a peut-être joué un rôle dans sa réussite ? Comment que ça se fait qu’il est pas devenu dealer ?
Curieusement, il semblerait que quand on se bouge le cul à l’école, ça marche mieux...
Ses propositions. Résolument hostile à toute forme de
discrimination positive, il compte sur le soutien des associations pour
aider les jeunes à s’en sortir. Sa règle d’or : l’adaptation. « Il faut
que les immigrés apprennent les codes sociaux pour mieux s’intégrer à la
société dans laquelle ils vivent », explique-t-il.
Putain, encore un fasciste...