Il apparaît évident, même si cela sautait aux yeux avant, que l’Etat est le complice des banlieues immigrées, considérées d’ailleurs d’un seul tenant, sans égard pour les immigrés désireux de s’assimiler. L’Etat a donc décidé depuis longtemps qu’on ne toucherait pas au trafic de drogue, qu’on ferait alliance avec les musulmans "modérés", qu’on passerait par pertes et profits toute la criminalité et délinquance d’origine exogène, qu’on mettrait des milliards dans une école-garderie inutile uniquement chargée de diffuser une propagande massive, dans des associations parfaitement inutiles également mais bien commodes pour masquer la réalité.
L’Etat n’agit pas en effet ou réagit de façon purement passive et lâche ; il ne veut tout simplement pas affronter les problèmes du moment, reconnaître l’inutilité de l’immigration, l’inégalité de traitement entre "Français de souche" (et immigrés assimilés) et racaille de banlieue. Toute cette "politique" n’en est pas une car elle est bourrée de contradictions et ne prévient aucun dérapage, aucune catastrophe, aucun couac dans l’idéologie babélienne. L’immigration reste un tabou absolument positif, notamment dans les médias libéraux-libertaires.