@medialter

Et donc on en reviendra à l’éternelle constante, il n’y aura de solutions qu’individuelles. Lesquelles ? Reste à les imaginer, mais il ne reste que peu de temps

J’y ai beaucoup réfléchit (pendant au moins quelques secondes) et je ne vois pas comment ça serait possible.

Je ne dis pas que c’est impossible. Je dis que je ne vois pas comment.

A partir du moment ou tu as besoin d’un "passeport sanitaire" implanté sous la peau** pour pouvoir bosser, pour avoir un compte en banque pour simplement avoir le droit d’interagir avec les gens qui ont peur (ceux qui ont accepté l’implant donc), c’est impossible de s’en sortir individuellement.

Tu pourras toujours refuser ton vaccin, si tu ne peux plus gagner ta vie ... ça va être chaud cacao. Vaccin contre pension retraite.

Si tu es tout seul, tu vas faire quoi ? aller bouffer des orties dans la forêt et te trouver une grotte pour y finir tes jours ?

Ou sinon, la seule solution pour être libre, c’est à la Demolition Man : vivre dans les égouts et voler ta bouffe. Puisque tu ne pourras pas te payer une maison (puisque tu ne pourras plus gagner d’argent, tu pourras même pas te payer une tente).

Et même si tu y arrives, tu seras juste un des derniers. Il n’y aura plus personne après toi. Bon peut-être que tu t’en branles, et dans ce cas, tu n’as qu’a juste compter à peu près le nombre d’années que tu penses qu’il te reste, acheter assez de bouffe pour tenir, et basta.

Non, je penses que la seule possibilité c’est à plusieurs avec tous ceux qui refusent la puce dans le cul, et en rusant avec le système.

Mais bon, moi j’en sais rien, vas-y, trouve la solution "tout seul", et puis dis nous comment tu fais, comment ça marche.

Moi j’essaye autrement.

** (le vaccin est un leurre selon moi, pire, un moyen de débusquer les résistants et les accuser de comploter contre la médecine comme des religieux, le vrai trucs, c’est la traçabilité du cheptel, mais bon si tu veux, disons vaccins, dans tous les cas, c’est le moment ou on va t’enfoncer une aiguille sous la peau, après, ce qu’il y a dedans c’est une autre histoire)