Des mesures populaires je n’en imagine absolument pas en ce moment. Déjà avant le coronavirus c’était sans avenir, à part pour ceux qui "traversaient la rue" pour aller bosser dans des restos voués à une future faillite planifiée. La France "des services" de l’ère "post-industrielle" a atteint le point de non retour, suite à l’action des 3-4 derniers gouvernements européistes. Celui qui arrivera après Macron — même s’il prévoit d"opérer un virage radical - ne pourra obtenir l’adhésion que s’il n’y a plus rien à perdre, autrement dit si la catastrophe est déjà là.