Je me demande toujours comment ils les sélectionnent, mais par ces temps de paupérisation et de dèche généralisée, il est toujours réconfortant de s’aviser que — pourvu qu’ils nous servent sans démériter la soupe de la propagande officielle —, de brillantes perspectives de carrière et de parasitisme restent, à nos frais et pas que dans les états-majors politiques, largement ouvertes aux plus médiocres !