De la propriété privée et du cul (hi hi).. Au début du 19ème siècle
Par Jacquou le croquant
Un jour que j’avé quitté ma petite masure au fond de la forêt, pour allé au village et que j’attendé dans la file du marché pour palpé les melons, j’y eu la fortune chanceuse de me retrouver à coté de la jeune Ariane, occupé à décollé de sa main des ognons fragiles. Non ! Elle été pas jolie mé elle m’interéssé parce que j’avé remaké qu’elle me faisé les yeux rous comme le renar. Que depuis quelque temps je me disé que peut-etre je pourré lui passer la dague au bois pour la débrouissailler rapidement et devenir son propriétère. Il faux que je vous dise qu’ici c’est comme ça ! On débrouissaille une jeune fille pour devenir propriétère, on la mé dans son près carré, que les autres y peuvent plus venir pisser autour sans risquer de se faire défourailler. J’ai jamé compri, mon papa y me disé toujour : toi mon fiston avec les dames t’aura pas les époles pour etre propriétère, mé avec un peu de la chance, une foi où deux tu pourrai etre prioritère.
Alors j’engage la conservation et l’invite à se promener jusqu’à l’autre bout du village où se trouve le fourbe anal, et que tous les hommes y vienne s’y faire leur mie, que la température elle y est beaucou plus élevé que partousailleur. J’y avé observé non loin un joli ciprès que je me disé qu’y pourré anoblir naturellement la distance entre un jeune homme et une damoiselle. Mais à peine elle fut adossée à l’arbre, face à moi, que j’y senti durcir mon ciprès comme le chêne ! Et sans avoir le temps de tourner sept fois ma langue dans ma bouche que la sienne s’y été agoinfré me délivrant une bonne livre de salive exitente. La sève montante, j’y soulevé sa jupe et à ma grande surprise j’y trouvé la foret pas si vierge que ça parce que elle été toute débrouissaillée . Que je me suis dit qu’y devé sans doute y avoir du propriéterre la dessous et qu’y fallé faire vite ! Dans ma précipite action, j’y est investi le terrier du renar que j’y pensé pas aussi étroit ! Une petite voie déchainée s’éleva : Ton ciprès est entré dans mon cul, mais pour une foi que j’en tien un, je le garde encore un peu ! La sève éructa de mon tron, comme celle d’un saigneur de bout de table, dans une dernière secousse de ma doulciné..
Hé bé ! c’est la seule foi de ma vie que j’y été prioriterre !