D-Day : un historien détruit les mensonges historiques des Américains ! - Eric Branca
"Commémoration du Débarquement : Les mensonges historiques des Américains depuis 1945
Avec Eric Branca, historien, journaliste, auteur de "L'ami américain" (éditions Perrin)"
Tags : France Etats-Unis Guerre
27 réactions à cet article
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Brève histoire de la famille (ou « Clan ») Roosevelt.
Rappelons pour commencer que Franklin Delano Roosevelt, président américain durant la Seconde Guerre mondiale (discrètement au courant des manœuvres de « l’Etat Profond ») disait : « En politique rien n’arrive par hasard. Chaque fois que survient un événement, on peut être certains qu’il avait été prévu pour se dérouler de cette façon. ».
Un historien contemporain, Bruno Riondel, a retracé les activités politico-financières de la famille Roosevelt :
Descendante d’un couple d’immigrés judéo-hollandais : Claes Maartenszen van Rosenvelt, et son épouse Jannetje Samuels, fille de Thomas Samuels et de Margaret Harne, c’est au 17ème siècle que la famille Roosevelt vint s’intaller à la « Nouvelle-Amsterdam » (aujourd’hui New York).
En 1784, l’arrière-arrière-grand-père de F.D. Roosevelt, Isaac Roosevelt, s’associa avec Alexander Hamilton pour créer la première banque new-yorkaise, la Banque de New York (première banque centrale américaine et ancêtre de la « FED » ; elle était structurée comme la Banque d’Angleterre). Sur le plan politique, Hamilton, homme des puissances financières, partisan de la création d’une Banque centrale américaine à la fin du XVIIIème siècle, s’opposait en cela à Thomas Jefferson qui en refusait l’idée. En 1786, Isaac Roosevelt devint président de la Banque de New York et, en 1789, Hamilton devint secrétaire d’État au Trésor. En 1930, un membre de la famille Roosevelt siégeait encore au conseil d’administration de la Banque de New York, W. Emlen Roosevelt. Il y côtoyait Cleveland Dodge qui avait été l’un des artisans de l’ascension de Woodrow Wilson à la présidence des États-Unis, en 1912. Au milieu du 19ème siècle, un autre membre de la famille Roosevelt, James Roosevelt, fut un élu du Corps législatif de l’État de New York. Selon ses biographes, il aurait été un agent de liaison entre le parti démocrate et Wall Street, transmettant les directives de la Bourse aux politiciens qui en recevaient des financements, notamment de la Banque de New York, en partie propriété des Roosevelt. Théodore Roosevelt, président des États-Unis, au cours de la première décennie du XXème siècle, monta, avec l’aide de Wall Street, en 1912, un tiers parti chargé de nuire à la réélection du président Taft et de contribuer au succès de Woodrow Wilson qui fut l’homme de main des promoteurs de la Federal Reserve. Plus curieusement, un autre parent de Franklin D. Roosevelt, Clinton Roosevelt, descendant du fondateur de la Banque de New York, fut l’auteur, en 1841, d’un manifeste de nature socialiste intitulé « The Science of Government founded on Natural Law », dans lequel il imaginait la création d’un pouvoir totalitaire placé aux mains d’une élite qui serait chargée de mettre au point une législation permettant un contrôle étroit des masses. La famille Roosevelt est un bon exemple de ces familles liées à l’oligarchie mondialisée et qui agissent à l’interface des domaines financiers et politiques.
Est-il utile de rappeler que Marx et Engels ont commencé leur carrière en tant que journalistes travaillant pour des intérêts capitalistes libéraux. Marx travailla plus tard pour le New York Tribune, dont le propriétaire, Horace Greeley et son éditeur, Charles Anderson Dana, étaient de proches collaborateurs du communiste Clinton Roosevelt, un membre démocrate radical du célèbre Clan Roosevelt, dont les intérêts étaient la banque et la politique, et qui étaient de proches alliés des Vanderbilt.
Wickliffe B. Vennard, dans son ouvrage « The Federal Reserve Hoax - The Age of Deception », écrit également : « Sans l’aide reçue de Clinton Roosevelt, d’Horace Greeley et des financiers qu’ils représentaient, Karl Marx serait resté un obscur obsédé révolutionnaire. Greeley a donné à Marx et à son Manifeste communiste une audience internationale. Ils ont promu leur camarade Illuminé en le nommant correspondant et analyste politique pour la New York Tribune, le journal de Greeley ».
NB : D’un point de vue économique, le Capitalisme monopolistique et le Socialisme sont tous deux les ennemis de la libre concurrence, car la concurrence et les forces du marché, lorsqu’elles ne sont pas « concentrées » dans les mêmes mains, permettent à d’autres de prospérer et, surtout, d’être indépendants. Un gouvernement communiste peut organiser le contrôle social de manière à garantir et à protéger la concentration de la richesse ; le gouvernement communiste peut donner à des cartels le contrôle des matières premières et des marchés, et leur accorder de gros contrats et s’endetter à l’infini auprès d’eux. Chaque secteur de l’économie étant, in fine, contrôlé par une poigné de cartels, réalisant ainsi cette « gestion des contraires » très chère aux organisations secrètes globalistes.
Aujourd’hui, le monde capitaliste et le monde socialiste évoluent vers le même type de société. Le poids de l’administration, l’omnipotence de l’Etat, la puissance des multinationales et des grands intérêts financiers, font que les hommes ne sont guère plus que des pantins en face de ces gigantesques pouvoirs. Ceux-ci aspirent au mondialisme, à une société uniformisée qui leur offrirait, par toutes ses possibilités d’exploitation, une puissance inégalée et un pouvoir absolu.
En 1964, dans « Humanisme et Culture », Edgar Faure écrit : « Le système capitaliste de l’Occident et le socialisme de la Russie (aujourd’hui on pourrait dire des « BRICS ») cheminent l’un vers l’autre, vers la solution de synthèse… ».
La « solution de synthèse » dont il est question ici, n’est-elle pas l’aboutissement de cette fausse unification finale dont parle l’Apocalypse, ce processus désagréable qu’aujourd’hui nous voyons bien réellement se mettre en place sous l’appellation de « Globalisation » ou « Nouvel Ordre Mondial » ?
Blog-
@Étirév
Intéressant et pas étonnant.
Il y a un long et très bon article publié sur le Saker qui montre tout ce qu’a fait Roosvelt pour déclencher la WW2, y compris en remplaçant le président polonais qui s’entendait avec ses voisins, contre un fanatique qui a tout fait pour provoquer la guerre. Comme actuellement en Ukraine, avec la GB à la manœuvre.
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Merci pour cette vidéo on y apprend beaucoup concernant De Gaulle et heureusement qu’il était là car sinon nous étions bouffés par les anglo-americains (sionistes ?)
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le nom de l’opération et c’est un secret de polichinelle était initialement "Hammer" et le débarquement en Provence "Anvil" ... marteau et enclume ... les noms étant trop faciles à interpréter ils ont été changé en "Overlord" et "Dragoon" (peu explicites et un petit pied de nez de Churchill sur le nom Dragoon) ...
voir dans le nom d’Overlord une volonté affichée de faire de la France un suzerain relève de la fantasmagorie ... De Gaulle a été mis à l’écart parce que les américains doutaient de sa popularité en France ... son accueil triomphal à Bayeux et son énergie à mettre en place des autorités françaises dans les zones libérées ont levé les doutes et il a eu les mains libres ... l’arrivée de la 2eme DB de Leclerc en Normandie mi août (grâce à Patton) a fini d’associer la France à sa libération ... comme d’ailleurs le débarquement en Provence en Aout 44 où les troupes françaises étaient à égalité avec les américains avec l’armée B de de Lattre ...
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@nono le simplet
l’arrivée de la 2eme DB de Leclerc en Normandie mi août (grâce à Patton)
début aout plus exactement -
@nono le simplet
Le problème n’est-il pas plutôt votre refus d’y voir une volonté affichée, comme c’était déjà le cas avec le « marteau » et l’« enclume », mais avec la divulgation de la stratégie militaire en moins ?Politiquement parlant, de Gaulle n’a pas été « mis » à l’écart, mais il était plutôt considéré comme n’ayant aucune légitimité par les anglo-saxons, lesquels voyaient en la France un pays vaincu depuis 1940.
Mais l’homme leur était utile militairement, afin de mener leur action dans les meilleures conditions, l’implication des forces françaises coloniales et de l’intérieur leur permettant de limiter leurs propres pertes et de préparer le terrain sur notre territoire.
C’est donc de Gaulle qui s’est imposé à eux, difficilement, en se rendant indispensable, et non pas l’inverse. Pour eux, il était plutôt une épine dans le pied avec laquelle ils devaient composer (son assassinat a même été envisagé), et certainement pas un choix délibéré pour diriger une France rétablie dans ses droits.
D’ailleurs, les anglo-saxons n’ont jamais eu l’intention d’associer les Français à leur victoire. De fait, la France n’a pu que contre-signer, en tant que simple témoin, les deux actes de la capitulation allemande (à Reims le 7 mai 1945 par le général Sevez dépêché in extremis, et le 8 mai à Berlin par le général de Lattre de Tassigny). C’est donc à la Force expéditionnaire alliée sous commandement américain et à l’Armée rouge que les Allemands se sont rendus, et non pas aux forces françaises, pourtant présentes et identifiées en tant que telles, mais que les anglo-saxons utilisaient juste comme de la chair à canon, un moyen pratique de parvenir à leurs fins.
Depuis lors, les Américains n’ont de cesse d’œuvrer à une colonisation du pays que de Gaulle a eu l’habileté de leur confisquer. Et aujourd’hui, force est de constater que leur projet a bien avancé.
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@pierrot19
voui ... en fait si je te comprends de Gaulle ne servait à rien mais aussi servait à quelque chose ... et les américains voulaient coloniser la France ...
et évidemment les russes n’ont pas colonisé les pays qu’ils ont libéré ?
franchement, hein, franchement !
cela dit je déplore aussi que la France n’est été associée qu’en temps que témoin à la signature de l’armistice le 8 mai ... et n’a reçu aucun secteur de Berlin ... c’est Churchill qui leur a filé un bout de sa zone ... mais bon, de Gaulle était absolument imbuvable et d’une rigidité agressive permanente qui avait de quoi agacer n’importe qui ... -
@nono le simplet
’’voir dans le nom d’Overlord une volonté affichée de faire de la France un suzerain relève de la fantasmagorie ’’
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C’est de poser ce commentaire qui relève de la fantasmagorie, car à part un nono, je ne vois pas qui ferait une telle supposition à l’envers du réel : cette dénomination non choisie par la France, faisait au contraire, symboliquement de la France un vassal !
De Gaulle n’a été mis à l’écart parce que les américains doutaient de sa popularité en Francemais au contraire parce qu’ils n’en doutaient pas. À travers De Gaulle c’est toute les Français qui étaient bafoués.
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@JL
et quand ils ont choisi "Anvil" c’est en pensant à toi ? -
@nono le simplet :
L’armée allemande a été entièrement vaincue par l’armée soviétique.
Si les Américains n’avaient pas débarquée, l’Allemagne aurait quand-même capitulé et la France aurait été libérée par voie de conséquence, le gouvernement de Vichy serait revenu à Paris, il aurait organisé des élections législatives et municipales, et la France se serait reconstruite toute seule.
Le débarquement et la résistance n’ont rien libéré, leur but était de prendre la pouvoir en France après la défaite de l’Allemagne, ils étaient en rivalité, pas pour libérer mais pour occuper.
C’est en 1958 que De Gaulle a été utile, il a été un grand résistant contre les Américains, et pas du tout contre les Allemands, c’est Pétain qui résistait aux Allemands.
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@Et Hop !
c’est Pétain qui résistait aux Allemands.
c’est un fait historique indéniable ! ...
tu devrais arrêter de fumer des champignons mexicains -
@nono le simplet
T’en connais un rayon en la matière -
@nono le simplet
petite anecdote ...
à son procès pour "collaboration horizontale" l’actrice Arletty ( atmosphère, atmosphère ...) aurait réclamé une chaise en prétextant qu’elle ne se sentait pas très résistante et aussi déclaré "si vous ne vouliez pas qu’on couche avec les allemands fallait pas les laisser rentrer" -
@nono le simplet
« voui ... en fait si je te comprends »...
Ne faites-vous pas juste mine de ne pas comprendre ?! C’est pourtant clair et simple : militairement de Gaulle leur était indispensable, mais politiquement il entravait leurs plans, notamment en ce qui concerne la gouvernance de la France.Quant aux Russes (si tant est que ce soit le sujet, car ils n’ont pas mis le pieds sur notre territoire), leur colonisation de l’Europe de l’Est ne justifiait en rien que les Américains fassent de même avec nous... À moins bien sûr d’admettre que leurs dirigeants qu’ils défendaient des intérêts passablement contraires aux nôtres ou ne valaient pas mieux que Staline. Et là, je parle bien de la colonisation d’après-guerre, pas de la reconquête militaire des territoires occupés par les forces allemandes.
Si la France a pu retrouver un place internationale de premier plan, c’est bien grâce à de Gaulle et à l’action des troupes françaises et de la Résistance qui ont reconnu son autorité, et en dépit des plans américains pour notre pays (qu’ils avaient d’ailleurs échafaudés bien avant le début de la guerre). C’est l’intransigeance de l’homme et son sens du devoir envers la Nation qui lui ont permis d’arracher des concessions à des alliés réticents, pendant et après la guerre.
De Gaulle était avait la stature d’un homme d’État, honnête et droit dans ses bottes, et il avait ses convictions. Il n’est donc pas étonnant qu’il ait pu paraître imbuvable et agressif envers des gens qui le fréquentaient par intérêt ou en raison de leur fonction, ou qui étaient objectivement ses adversaires (particulièrement chez les « alliés »). Est-il nécessaire de rappeler que dans le domaine militaire comme en politique, il n’y a pas de « copain sympa » qui vaille ?
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@pierrot19
Ne faites-vous pas juste mine de ne pas comprendre ?
non ... non ... j’ai du mal avec le coup de la colonisation ... en allant un peu plus loin on pourrait envisager que le débarquement était une invasion ... en oubliant que la 2e DB de Leclerc et la 2e armée de de Lattre ont été entièrement équipées par les américains ... étonnant pour des colonisateurs , non ?
à moins d’imaginer que de Lattre et Leclerc étaient à la botte des américains ... mais là on traverse le miroir pour entrer dans la cinquième dimension ... -
https://www.youtube.com/watch?v=d0ntvLHXM3E
Jim Morrison transvestigation
de l’execellente chaine https://www.youtube.com/@simon41978/videos de Simon Woods
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Notre ami américain, vraiment ? Eric Branca et Marc RoussetEric Branca, historien, journaliste, spécialiste du gaullisme, auteur ’’L’ami américain’’ etMarc Rousset, ancien haut dirigeant d’entreprise, docteur ès Sciences Economiques, auteur ’’Notre faux ami, l’Amérique’’-
https://www.youtube.com/watch?v=DoyMUwTsX2Q
Barry White Transvestigation
https://www.youtube.com/watch?v=aXKeV7S9FnA
Voice Feminization and Masculinization
https://www.youtube.com/@nexwexbackup/videos
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Voila à quoi jouent les américains tromper le monde
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Très intéressant. Si je peux me permettre et en vous remerciant d’avoir partagé cet interview, peut-être aurait-il été plus avantageux de titrer afin de titiller la curiosité des lecteurs :
" Soft power et déconstruction de l’Histoire ; les raisons oubliées pour lesquelles DE Gaule n’a jamais voulu assister aux commémorations du juin".-
L’armée allemande a été entièrement vaincue par l’armée soviétique qui ont pris Berlin.
Donc si les Américains n’avaient pas débarquée, l’Allemagne aurait quand-même capitulé et la France aurait été libérée par voie de conséquence.
Le gouvernement de Vichy serait revenu à Paris, il aurait organisé des élections législatives et municipales, et la France se serait reconstruite toute seule.
Il n’y avait pas non plus besoin de De Gaulle et des résistants épurateurs, sauf pour ramener au pouvoir par la force la classe politique qui avait perdu la guerre et qui s’était enfuie (communistes et radicaux-socialistes), il avait été vice-secrétaire d’État à la guerre du gouvernement qui voulait capituler.
Le débarquement et la résistance n’ont rien libéré, leur but était de prendre la pouvoir en France après la défaite de l’Allemagne, ils étaient en rivalité, pas pour libérer mais pour occuper.
C’est en 1958 que De Gaulle a été utile, il a été un grand résistant contre les Américains, et pas du tout contre les Allemands, c’est Pétain qui résistait aux Allemands.
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@Et Hop !
En juin 44, le front Est était encore en Union Soviétique, et les armées allemandes étaient loin d’être écrasées. L’opération soviétique Bagration a débuté quelques jours après le débarquement, attaques conjointes permettant de diviser les forces allemandes.
L’effort de guerre soviétique a été prédominant, ils se battaient pour libérer leur propre pays, après avoir été envahis par leur ancien allié contre la Pologne.Sans le débarquement, la guerre se serait poursuivie plus longtemps, l’Allemagne nazie aurait perdu l’Est et gardé l’Ouest.
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@Et Hop !
Au contraire des plans américains de colonisation de la France, je doute qu’une victoire exclusive de la Russie stalinienne ait autorisé le rétablissement d’un gouvernement vichiste chez nous.De Gaulle a justement épargné à la France tout à la fois l’installation d’un gouvernement communiste soumis aux Russes et le retour d’un gouvernement pro-fasciste soumis aux Américains. Concernant cette dernière option, certains lui reprochent même d’avoir mis fin un peu trop tôt à l’épuration des criminels.
Par ailleurs, si les Américains avaient bien comme plan de prendre le pouvoir en débarquant, on peut difficilement accuser les Français qui ont pris part aux opérations, d’« occupation » d’un territoire qui était le leur, ou leur reprocher d’en avoir repris la gestion et le contrôle en accédant au pouvoir politique.
Quant à Pétain, on peut disserter sur ce qu’il aurait pensé en son for intérieur, il n’en reste pas moins que la majeure partie de son gouvernement et de son administration a eu une façon pour le moins singulière de « résister » aux Allemands durant l’occupation.
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@Et Hop !
D’autre part, l’armée allemande n’a pas « entièrement » été vaincue par l’armée soviétique, même si cette dernière a fait le plus gros du travail.Le fait qu’elle ait également dû combattre sur le front de l’Ouest a, pour le moins, notablement accéléré la fin des hostilités, probablement assez pour empêcher l’Allemagne nazie de mettre en œuvre les armes modernes qu’elles développait (avions à réaction, missiles, bombe atomique tactique) et qui auraient pu changé l’issue du conflit.
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@pierrot19
bombe atomique tactique
sérieux ? c’était une crainte, certes, des américains mais les allemands en étaient encore aux balbutiements de l’arme nucléaire ... -
De Gaulle avait été tenu à l’écart des préparatifs, mais lors du débarquement, il a quand même proclamé ’’la bataille suprême est engagée’’.
Dès le début, les chefs des armées alliées sur le terrain ont pris la mesure du rôle de la résistance, de la popularité de de Gaulle, ainsi que la mise en place effectif d’autorités locales françaises de libération. C’était pour eux plus efficace et économique que de devoir mettre en place l’administration provisoire prévue (AMGOT), ils ont laissé tomber ce projet. Eisenhower a bien mieux compris de Gaulle que n’avait fait Roosevelt, et il y a eu coopération constructive.
Il n’en n’est pas moins vrai que de Gaulle a gardé une certaine rancoeur des mauvais procédés américains et snobait les cérémonie du débarquement en Normandie, préférant celui de Provence avec des troupes françaises.
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Par ailleurs, les britanniques, qui avaient reconnu la représentativité de de Gaulle, étaient en désaccord sur la mise en place de l’AMGOT en France.
Côté des forces américaines, Eisenhower juste avant le débarquement avait écrit ’’tous nos renseignements nous conduisent à croire que la seule autorité que les groupes de résistance désirent connaître est celle de De Gaulle et de son comité ... nous sommes tenus de traiter avec lui si nous voulons nous assurer l’aide maximale des Français, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays’’
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Edifiant !
Merci d’avoir passé cette interview.
Je viens aussi d’acheter le bouquin.
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