Giesbert défend les animaux
Franz-Olivier Giesbert est l'invité de Laurent Ruquier dans "On n'est pas couché" le
11 octobre 2014.
Tags : Animaux
17 réactions à cet article
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MDR
Alors vous allez enregistrer tous les samedi l’étron de ruquier et son cheptel pour le diffuser sur le net dès le lundi ?
C’est parce qu’on en a rien a foutre de la télé que toute la bande de dissident de la dissidence passe son temps à s’abreuver de conneries qu’ils dégobillent ici ?
Toutes ces grandes questions existentielles induites par cet article trop high level pour nous me laissent pantois.-
FOG est un gros tartuffe, ainsi que Ruquier, c’est pas moi qui dirait le contraire...
Mais pour une fois qu’il a raison, on va pas s’en priver non plus ?
Il n’y aura pas de "droit de l’homme, de la femme, de l’enfant et du vieillard" tant que la dignité animale ne sera pas inscrit au Panthéon de l’humanité.....c’est aussi simple que cela !!! -
Un BigMac qui parle !
Sont trop fort ces américains "mon meilleur pote est un casse dalle" ! -
Tous ces gens qui se réveillent au sujet de la condition "animale" ...
En effet, rarissimes sont les personnes qui mangent de la viande ayant ne serait-ce qu’une seule fois mis à mort et encore moins vidé la bête qu’ils consomment.C’est la même hypocrisie qui consiste à s’indigner momentanément parce qu’un atelier faisant trimer des esclaves au Bangladesh s’est écroulé faisant 1200 morts, tout en portant ces mêmes vêtements. La même qui consiste à avoir à la main son smartphone fabriqué par d’autres esclaves (chinois ceux-là mais peu importe on s’en fout de toute façon) tout en déplorant leurs conditions de travail...Le plus malheureux est que les gens qui défendent la cause animale sont souvent des tocards peu crédibles par ailleurs, un malheur n’allant jamais seul.Dans le cas des animaux c’est notre rapport au vivant que nos pratiques soulèvent : Quand il y a 97% de viande produite hors-sol dans des "situations concentrationnaires" (l’expression a été employée par R. Février, le patron de l’INRA, dés les années 80) et que l’on continue de participer à cela c’est que l’on méprise ouvertement les autres espèces. Dés lors nous devons nous attendre à payer. Et nous paierons (payons déjà) très cher cette arrogance ; le prix sera à la hauteur des crimes de l’humanité.-
Franz-Olivier Giesbert a parfaitement raison ici. Et en plus il est manifestement sincère sur ce coup.
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J’avais jamais pensé à ça tiens : si tu veux manger de la viande, tu vas tuer la bête toi-même. Ah ça en refroidirait, moi le premier.
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mais si tout le monde se met à faire ça va être un sacré merdier !
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Non, si tout le fait ca, personne ne le fait.
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J’avais jamais pensé à ça tiens : si tu veux manger de la viande, tu vas tuer la bête toi-même. Ah ça en refroidirait, moi le premier.
La bête aussi serait refroidie (avant d’être cuite).
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Et si son ventre est encore fécond ?
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Et si ce nouveau statut de l’animal sonnait la mort prochaine de la paysannerie, de la tradition, etc... avec des groupes qui imposeraient leur immonde viande artificielle ?
Ca commence déjà avec les OGM et la confiscation des semences (jusqu’ à l’horrible arche de noe végétal à vocation soit disant humaniste) Monde de merde ! Ca fait quand même peur.-
Je rêve d’un monde où l’homme prends ses responsabilité pour égorger les 3 poulets qu’il mange par semaine ... Mon père m’a appris a égorgé les poulets et C pas une chose light à faire et à vivre ... Quand l’homme tue le poulet, la femme déplume et vide le poulet et çà aussi C pas light à faire ...
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Les jeunes hommes d’aujourd’hui se rasent le torse et se sentent d’éternels adolescents ... Ils jouent à la playstation jusqu’à 40 ans ... Je les voient mal tuer les animaux dont ils aiment la chair ... tuer un mouton ou une vache C pas si simple, C violent et çà fait un bruit éffroyable ... l’homme moderne a délégué à la paysannerie la responsabilité de tuer l’animal dont il se nourrit ... C par intérêt, des 2 cotés ...
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La paysannerie n’a pas de soucis à se faire pour son avenir, surtout si elle opte vers le 100% bio, car les humains aiment la viande ... savais-tu que dans certains temple d’Inde, tu ne peux pas entrer si tu as manger 1 seule fois de la viande dans ta vie ? ... Car quand tu goutes à la chair, donc au sang, tu changes dans ton âme ... -
Vous m’avez fait vibrer avec vos jeunes hommes qui se rasent le torse... Un lion qui déclare sa flamme à un inconnu à leur première rencontre sur meetic-vox, cela me rappelle ma folle nuit à Hambourg avec Henrich en 2006. Nous nous étions tendrement pénétrés jusqu’au petit matin en écoutant cette chanson des années 80 :
Confidence pour confidence,
C’est moi que j’aime à travers vous.
Mais aimez-moi à genoux, j’en suis fou,
Mais, de vous à moi, je vous avoue
Que je peux vivre sans vous.
Aimez-moi à genoux, j’en suis fou
Et si ça vous fait peur,
Dites-vous que sans moi,
Vous n’êtes rien du tout.
Tout pour rien, rien pour vous.
Vous m’aimez, mais je joue,
J’oublie tout.
Faites-moi craquer Clarence, ambiance Daktari, et je vous préparerai un couscous brochettes avec un mouton rectifié à la batte de base-ball (en promo chez Carrefour). -
Si l’humain avait eu deux ailes dans le dos et pas dans le nez il aurait pu voler sans bec.
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ben tien ! le respect du vivant quel qu’il soit, doit commencer par soi même.
THE FOG n’est pas une brillant aspect de cette vérité.C’est à lui seul une pollution verbale et son image en tête de l’article ne fait qu’activer le compostage de ses idées.Certes, nous sommes à l’ère des poissons pannés prêts à cuire sans huile, des steacks sous vide dont l’étiquette présente la matière intérieure comme un produit clean bien loin de la vache à lait "élevée" en ferme concentrationnaire .L’homme à toujours tué les animaux........ en même temps que lui même..Alors que cela s’arrête....oui, bien sûr que se serait bien.......pour tous !-
"L’homme à toujours"
Une phrase qui commence comme cela et c’est automatiquement 10 points en moins sur la note de votre prochaine rédaction, mon ami ! Et je ne parle même pas de la faute d’accent sur le "a". -
LawL
Moi c’est cette variante qui m’a le plus couté de points, faut dire qu’en Histoire ça la fout mal :
"De tout temps..."
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