Jean Bricmont a changé d’avis sur l’UE
Cette vidéo traite de l'UPR et de François Asselineau.
A propos de l'UE de l'impossibilité de la réformer, des illusions écologistes, des contradictions du PCF, de la France insoumise et de Parti du Travail de Belgique à propos de l'UE, et des critiques faites à l'égard de François Asselineau.
Tags : François Asselineau Union européenne Jean Bricmont
13 réactions à cet article
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Bel éloge de l’UPR et d’Asselineau auquel je souscris entièrement.
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@Gollum
L’UPR est un parti de fasciste qui ne tolère aucun progressisme, figé dans sa médiocrité intellectuelle d’un autre temps. Macron et son équipe de choc va encore le laminer comme la dernière fois et tant mieux. -
@Shanti-Zen*
Bah ... Macron et sa fine équipe n’a besoin de personne pour le laminage ... ils s’auto-laminent très bien tout seuls.
Tu dis que l’Upr est un parti de fascistes ... tu blagues mal !
Qu’est-ce que le progressisme sans être une Nation libre, sans être enchainée aux autres ... sans guerroyer pour ses maîtres ?
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@Shanti-Zen*
Pourrait-on avoir la démonstration que l’UPR est un parti fasciste ?Aujourd’hui, le fascisme, c’est le progrès.
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@Shanti-Zen*
médiocrité intellectuelle d’un autre temps
Vous avez raison je vais me mettre à "penser printemps".. D’ailleurs c’est de saison. -
@Gollum
"europrintemps" ou "LBDprintemps" seraient mieux mais c’est déjà pas mal.
Pas facile de trouver de bons slogans spirituels ou pertinents je vous l’accorde.
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’’A propos de l’UE de l’impossibilité de la réformer
’’
« Ils croyaient que c’était pas réformable, alors ils ont voulu le Brexit ! » (plagiat d’antienne connue)
L’UE n’est que ce que les chefs d’États ont voulu, des conservateurs acquis à l’ordolibéralisme. Ils nous font croire que ce n’est pas réformable et qu’on ne peut pas en sortir. Un peuple souverain a tous les droit.
La France ce n’est pas le Luxembourg, ni la Grèce : pas d’UE Sans la France.
L’alternative n’est pas Frexit or not Frexit mais une UE conforme à la volonté des peuples, avec des dirigeants qui en ont la volonté, ou pas d’UE du tout.
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@JL
Admettons que vous ayez raison, pourquoi pas.
Mais dans ce cas puisque la France a un tel poids, pourquoi ne pas faire un frexit (ou menacer de le faire) quitte à revenir (ou ne pas mettre la menace à exécution) dès que les conditions nous conviennent ? (dans l’hypothèse où une entente à 28 soit possible, ce dont je doute puissamment)
Puisque tous les eurodéputés européistes prétendent vouloir montrer les muscles, là ils auraient du solide.
L’ue sans la France (et l’Angleterre) ça risque de s’écrouler vite. L’inverse je ne pense pas.
On gagnerait un temps fou.
Car ça fait 40 ans qu’on nous endort avec des changements qui n’arrivent jamais.
Et il ne faut pas négliger le fait que l’upr propose le referendum, rien n’empêche alors de proposer une ré-adhésion à l’ue, alors qu’actuellement on ne nous laisse pas le choix, au contraire on nous l’a imposé malgré le non de 2005.
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jean bricmont : toujours d’une logique rigoureuse
la "maladie mondialiste" s’insinue peu à peu dans sa connaissance pour le plus grand bien de ses auditeurs ;
Toutefois, soral va beaucoup plus loin dans la dénonciation des causes et conséquences du mondialisme
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D’après le titre et l’article chapeau ... pas pu écouter ...
Eh bien bravo Bricmont ... il était temps !
Mieux vaut prendre le train en marche ... qu’attendre inutilement celui qui ne viendra jamais.
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Pour ceux qui souhaitent développer plus loin, sur l’U.E ...
je me permets de poster un lien vers un article que j’ai posté récemment sur ce sujet ... L’UE impose ses lois !
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Cette analyse un peu fouillis, sur les concepts, de Bricmont, reflète bien le biais de pensée qui règne à l’UPR sur le souverainisme qui y est agité comme un élément binaire : in/out, 0/1, europe/frexite, traités/souveraineté, etc...
Le souverainisme n’est pas forcément un radicalisme, cela peut aussi être une force tranquille et nuancée, sûre d’elle et capable de dire à ses partenaires ici nous souscrivons, ici nous ne souscrivons pas, ici nous faisons une concession...
On retombe ici dans les vieilles lunes des révolutionnaires contre les réformistes qui ne me parait pas être le bon niveau de débat. Commencer par décider le souverainisme de qui (aux intérêts de qui) et le souverainisme de quoi viendra de lui même...
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@pegase
A priori je suis assez d’accord, avec une nuance importante "les français" ce n’est pas une catégorie homogène. Gagner la souveraineté, retrouver nos outils régaliens, pour qu’ils finissent en peu de temps dans les mains des mêmes, ceux qui n’ont pas l’intérêt du peuple, c’est passer d’un fédéralisme à un confédéralisme sur la forme, sur le fond rien ne change...
C’est pour cela que je me permets de faire remarquer qu’un souverainisme de qui et pour qui doit amener à une réflexion sur la suite politique envisagée.
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