• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV Mobile

Accueil du site > Tribune Libre > Jean-Paul Bourre : satanisme, enracinement, drogue & rock’n’roll

Jean-Paul Bourre : satanisme, enracinement, drogue & rock’n’roll

Jean-Paul Bourre, guerrier du rêve, raconte sa propre traversée du demi-siècle, la France des terroirs, la génération rock des années 1960, les dérives nomades, l’expérience littéraire dans les marges, satanisme et contre-culture, l’avènement des radios libres, la guerre en Croatie, jusqu’aux années 2000. Une quête existentielle, menée dans l’urgence.

Tags : Livres - Littérature Culture Drogues Poésie Satanisme Croatie




Réagissez à l'article

10 réactions à cet article    


  • vote
    ged252 19 janvier 2023 16:48

    Lui, Jean-Paul Bourre, il était quand même obsédé par le christianisme, enfin l’antichristianisme.

    .

    Comme les yoananda2, comme medialter, ou les autres du même style, qui consacre leur vie à la lutte contre les croyances, les absurdités du moyen âge, les bêtises d’un autre âge, les obscurantistes abrutis .

    .

    Comme  : les types de la libre pensée qui font enlever une statue de la vierge marie su l’ile de ré, en se prenant pour des héros, des sauveurs de l’humanité :

    .

    https://ripostelaique.com/georges-brassens-pulverise-les-connards-de-la-libre-pensee.html

    .

    En n’oubliant pas de promouvoir l’islam :

    .

    https://ripostelaique.com/les-deboulonneurs-de-la-vierge-marie-de-lile-de-re-encensent-lislam.html

    .

    Comme Oleg le viking, le mec se croit descendant des viking, anti chrétien qui passe sa vie à dénigrer, salir, vomir le christianisme, en se prenant pour un héros lui aussi :

    .

    https://odysee.com/@pagans-tv:0/esclaves-vikings-contre-dinars-le-film-2:1

    .

    Comme, Parmi ses groupies, deux vielles boumeuses, surement de gauche, légèrement allumées  :

    .

    https://odysee.com/@JulieLeelouLives:f/Esclaves,-vikings-contre-dinards-d’Oleg-de-Normandie-25_07-Parlons-en- !!!-:1

    .

    Depuis le temps que ça dure toutes ces trucs-là, c’est lassant

    .

    Comme si le christianisme était la menace la plus dangereuse planant au dessus de nos têtes, et qu’il fallait à tout prix combattre jusqu’à éradication totale, sans quoi on ne pourrait jamais vivre en sureté et sécurité tant qu’on en aura pas éliminé jusqu’à la plus infime trace dans la société ... pfff  smiley



    • vote
      alanhorus alanhorus 20 janvier 2023 01:44

      Didier de Plaige vient de passé de l’autre coté Jean Paul Bourre est un intervenant de la radio ici et maintenant.

      Je lui ait parlé 

      Mitterrand ? il le défend.

      J’ai un point commun avec ce gars c’est l’admiration pour James Dean.

      James Dean un métis indien par sa mère.

      James Dean enfant violé a 14 ans par le prêtre qui l’a enterré.

      James Dean une histoire non racontée.


      • vote
        alanhorus alanhorus 21 janvier 2023 18:35

        Mitterrand 

        https://fr.wikipedia.org/wiki/Ordre_de_la_Francisque

        Une liste de 2 626 titulaires, dont trois femmes, a été reconstituée par la Haute Cour en 1945, les archives du Conseil de la francisque ayant été détruites.

        Mitterrand avais mis la retraite a 60 ans c’était tout même bien avant lui elle était à 65 ans.


      • vote
        Étirév 20 janvier 2023 07:36

        Sex & Drugs & Rock... & Contre-Culture

        Est-il utile de rappeler que le Rock (issu du Blues et du Rythm and Blues noirs), apparu au début des années 1950, a permis l’intrusion, dans notre monde, d’influences négatives, sinistres, liées à la violence gratuite, à la drogue (notamment au LSD), au sexe (dans l’argot étatsunien, le terme « Rock and Roll » est un équivalent de « va-et-vient » ; certains doivent peut-être se souvenir de la première apparition TV d’Elvis en 1956, qui scandalisa l’Amérique puritaine avec son déhanchement « obscène »), aux pulsions les plus basses, et provoquant chez les êtres et par voie de conséquence dans nos sociétés, de graves effets pathologiques aux niveaux physiologique, psychologique et social.
        De plus, certains disques enregistrés par les Beatles, les Rolling Stones (notamment « Bridge to Babylon »), Led Zeppelin, Pink Floyd et autres groupes Rock, révèlent que ces enregistrements comportent des messages subliminaux destinés à être diffusé à l’insu du plus grand nombre. Ces messages, traités selon une technique appropriée (enregistrement à rebours camouflé : le message subliminal étant transmis par un « beat », ou un signal à fréquence ultra-sonique) atteignent, comme leur nom l’indique, un individu dans sa zone subconsciente, précisément là où ne s’exerce aucun contrôle rationnel. Par ce procédé, identique à celui qui est utilisé dans la publicité, s’effectue une véritable « persuasion clandestine », grâce à quoi le message anagrammatique est introduit, capté comme tel par le subconscient qui, dans un second temps, le décode et le reconstruit pour enfin le faire émerger au niveau du moi conscient qui, faute d’un discernement préalable, ne peut qu’adhérer, mais dans l’ignorance, au sens réel du dit message, dont le contenu est le suivant : perversion sexuelle, révolte contre tout ordre social, incitation au suicide, à la violence, etc.
        Un extrait d’un texte de John Todd est révélateur d’une connexion du Rock avec la basse sorcellerie : « de tout temps, dit-il, la sorcellerie a été pratiquée au son du Beat, qui est identique dans les cultes du Vaudou et dans la musique Rock. Impossible de pratiquer la sorcellerie sans cet accompagnement. ».
        Aussi, est-ce un hasard si la Loi sur la sorcellerie (Witchcraft Act 1735) fut abolie en Angleterre en 1951, au moment où naissait le Rock ?
        Dans le chapitre intitulé « Le déferlement du rock subliminal », extrait de son ouvrage « La Société Fabienne », Guy Boulianne écrit : « Les Beatles (bons garçons) et les Rolling Stones (méchants garçons) sont les deux faces d’une même pièce qui a été frappée par l’Institut Tavistock pour présenter à la jeune génération une nouvelle langue et une nouvelle éducation culturelle autour des prétendues libertés : la liberté de consommer de la drogue et la liberté de devenir une contre-culture. Tout ceci a été fabriqué. ». En effet, quand, par exemple, les Beatles arrivèrent aux États-Unis pour la première fois, en 1964, ils furent assaillis à l’aéroport par des centaines d’adolescentes hystériques. La presse nationale annonça aussitôt que la « Beatlemania » s’était emparée de l’Amérique. Mais en réalité, les jeunes filles avaient été transportées d’un collège du Bronx à New-York, et payées par les promoteurs des Beatles (Brian Epstein entre autres) pour leur séance de hurlements hystériques ; la même année, les Rolling Stones firent leur apparition en Amérique au « Ed Sullivan Show », comme les Beatles un peu plus tôt. Les téléspectateurs eurent cette fois droit au spectacle de la mise à sac du studio par les fans. Notons que le premier vrai succès des Stones fut, en fait, écrit par les Beatles, et ce fut le guitariste des Beatles, George Harrison, qui fit les arrangements pour leur premier contrat d’enregistrement.
        L’opposition entre les gentils Beatles et les méchants Rolling Stones fut la stratégie utilisée pour mettre la jeunesse dans un étau : l’habituel « diviser pour régner ». Les Beatles pénétraient des couches sociales et culturelles où les Rolling Stones étaient mal vus. Chacun pouvait choisir son camp. Lorsque les Beatles avançaient une nouveauté, les Rolling Stones s’en emparaient pour s’en moquer. Quand les Beatles vantent le voyage psychédélique au LSD, les Rolling Stones font l’apologie de l’héroïne. Quand les Beatles chantent « la paix et l’harmonie », les Rolling Stones proclament leur « foi satanique ». Cela devient si caricatural qu’on comprend que les deux attitudes étaient artificielles, comme un moyen pour semer la confusion dans l’esprit des jeunes. Moins d’un siècle auparavant, les jeunes étudiaient le violon ou le piano, mais la magie de la guitare électrique s’empara de l’espace sonore. On abandonna Bach, Mozart et Beethoven pour se lancer dans le Rock. Toutes ces mêmes sociétés d’enregistrement qui feront plus tard la promotion du hard Rock (Heavy Metal), ont dirigé des opérations secrètes pour détruire l’héritage musical des compositeurs classiques.
        EMI (Electrical & Mechanical Instruments) qui avait pris le contrôle des enregistrements de musique classique en faisant signer des dizaines de contrats concernant des interprètes de musique classique allemands, aura un rôle important dans la promotion des Beatles. Rappelons que EMI est à la base une des plus grosses entreprises de production d’électronique militaire, mais aussi un élément-clé de l’establishment du renseignement militaire britannique. Toutes ces curieuses « maisons de disques » (Capitol Records, EMI, etc.) dissimulaient des recherches militaires. La grande majorité des fans du Rock libertaire des années 60 ne se doute pas que les disques de ses idoles « révoltées et antimilitaristes » étaient produits par l’armée et les services secrets britanniques.
        La musique Rock est, et a toujours été, une entreprise conjointe avec les services de renseignements militaires britanniques et les réseaux satanistes. L’Angleterre a une vieille tradition de ces deux genres d’activité où se croisent les mêmes acteurs.
        Le « mantram » du Rock en langue anglaise (langue « magique » du blues) est une transe, un envoûtement. Cette opération de subversion de l’âme de la jeunesse, qui a été menée par les services secrets anglo-saxons, a orienté la culture sur une voie qui s’écarte de l’évolution régulière.
        Aujourd’hui, les résultats sont là : la culture Rock a attaché les âmes à des systèmes affectifs et comportementaux régressifs. La « Techno » n’a plus qu’à cueillir les jeunes pour les livrer à l’abrutissement final où les corps sont possédés par le rythme mécanique d’une bestialité robotique.

        SUITE…


        • vote
          Mélanippe 20 janvier 2023 09:05

          @Étirév Je suis à 75% d’accord avec vous. Mais ne peux m’empêcher de penser que ces hommes que vous décrivez souvent comme étant à la source du mal (ou du malin) sur terre, ont eu une mère. Qui donc leur a inculqué ces valeurs perverses ? THAT’S The question..... Le grand Victor Hugo eut une enfance classique.... 

          Victor-Marie Hugo1 est le fils du général d’Empire Joseph Léopold Sigisbert Hugo (1773-1828), créé comte, selon la tradition familiale, par Joseph Bonaparteroi d’Espagne, capitaine en garnison dans le Doubs au moment de la naissance de son fils, et de Sophie Trébuchet (1772-1821), issue de la bourgeoisie nantaise.

          Il naît le 26 février 18022 (« 7 ventôse an X » selon le calendrier républicain alors en vigueur), à Besançon, au 1er étage du 140 Grande Rue, renommée depuis place Victor-Hugo). À peine né, il est déjà le centre de l’attention. Enfant fragile, sa mère prend beaucoup soin de lui3, comme il le racontera plus tard dans son poème autobiographique Ce siècle avait deux ans.

          Dernier d’une famille de trois garçons après Abel Joseph Hugo (1798-1855) et Eugène Hugo (1800-1837), il passe son enfance à Paris, au 8 rue des Feuillantines, dans un logement loué dans l’ancien couvent des Feuillantines, vendu comme bien national à la Révolution. Ce séjour dans un jardin sauvage, vestige du parc de l’ancien monastère, lui laissera des souvenirs heureux.


        • vote
          Mélanippe 20 janvier 2023 09:13

          @Mélanippe Remarquons que Hugo eut une mère aimante et un père présent dans un contexte bourgeais de l’époque. Ce qui est loin d’être le cas des Beatles et Des Rolling Stone.... qui venaient de la middle class avec des parents aux contours flous... Mich Jagger : 4000 conquètes dont Carla Bruni....


        • vote
          jeanpiètre jeanpiètre 22 janvier 2023 18:10

          @Étirév
          C’est consternant de niaiseries


        • vote
          Mélanippe 20 janvier 2023 08:56

          Exact Etirev. Sait-on que sur l’album Sergent Pepper se trouvait Hitler et Alesteir Crowley. En passant à un autre sujet, mais proche en définitive, je m’étonne qu’au procès du Bataclan on ait pas tenté de comprendre pourquou et comment le tueur djihadiste ai tiré justement (un vendredi 13,... comme par hasard....) au moment où le chanteur criait : Kiss The Devil. Embrasser le diable....


          • vote
            juluch juluch 3 janvier 12:36

            Reposez en paix....que la terre vous soit légère......  smiley



Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON


Publicité





Palmarès