Joignez-vous à la résistance-MAINTENANT
« La non-violence est une arme puissante et juste qui tranche sans blesser et ennoblit homme qui la manie. C’est une épée qui guérit »
- Martin Luther King
« Aimer sans agir, cela n’est rien… » - Raoul Follereau
« Si nous cultivions les convergences plutôt que les différences, il y aurait la paix dans le monde » - Daniel Maurin
« Nous devons être le changement que nous voulons voir dans le monde » - Gandhi
Le monde est dangereux à vivre ! Non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire."
Theplot911
Tags : Internet Démocratie International
9 réactions à cet article
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C’est une très bonne vidéo,j’ai tout de même quelque bémol :
-"nous""nous""nous" je ne nie pas le faite que la situation économique de notre pays est grandement influencé par la pourriture des vendeurs d’armes et autre avides sans scrupules mais vivons nous la démocratie réelle ?un enfant qui né en France a t il fait un choix ?
-la bombes H qui doit nous péter à la gueule dans les 20ans on nous le promet depuis 60ans Par contre les centrales.........
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Excellente vidéo, ils ont trouvé le point commun à l’humanité.
Je voterais pour des gens ayant cette analyse là, à quelque niveau que ce soit...Ils pourraient avoir une majorité dans pas mal d’instances, si la démocratie était appliquée comme elle se devait et si les médias n’étaient pas des instances de manipulation.-
Toutes les préconisations distillées au long de ce petit film vont à mon avis dans le sens du "système" car ce dernier peut très bien S’ACCOMODER de toutes ces "résistances pacifique"
extrait d’un écrit de theodore kaczynski (Frappez les points névralgiques !)
"
Le but de cet article est de souligner un principe très simple
qui régit les conflits humains, un principe que les opposants au
système techno-industriel semblent ne pas prendre en compte
...
Démolir des McDonald’s ou des Starbucks est sans intérêt. Ce
n’est pas que je me fiche des McDonald’s et des Starbucks mais
peu m’importe que quelqu’un les démolisse ou non. Ce n’est pas
une activité révolutionnaire. Même si toutes les chaînes de fast-
food dans le monde étaient détruites, le système techno-indus-
triel n’en souffrirait que peu car il pourrait facilement survivre
sans les chaînes de fast-food. Quand vous attaquez les McDo-
nald’s ou les Starbucks, vous ne frappez pas un organe vital.
...
Le système techno-industriel est exceptionnellement résistant
du fait de sa structure soi-disant « démocratique » et de la flexi-
bilité qui en résulte. Du fait de la rigidité des systèmes dictato-
riaux, les tensions et les résistances sociales peuvent atteindre
un point de rupture endommageant gravement le système ou
débouchant sur une révolution. Mais dans un système « démo-
cratique », quand la tension et la résistance sociales s’accrois-
sent dangereusement, le système fait preuve de flexibilité et
accepte les compromis pour ramener les tensions à un niveau
acceptable.
...
De la sorte, attaquer le système revient à frapper un morceau
de caoutchouc. Un coup de marteau peut briser de la fonte, parce
que la fonte est rigide et cassante. Mais vous pouvez taper sur
un morceau de caoutchouc sans l’endommager parce qu’il est
souple. Il se déforme sous le coup et reprend sa forme dès que
la pression a cessé. Il en est de même avec le système industriel
« démocratique » : il recule face à la protestation, juste ce qu’il
faut pour qu’elle perde sa force et son élan. Ensuite le système
se rétablit et reprend sa place. Donc, pour frapper le système là
où ça fait mal, vous devez choisir des points sur lesquels il ne
peut pas céder et pour lesquels il combattra jusqu’au bout.
...
"Tous les ecrits de theodore kaczynski en français (dont le texte ci -dessus en totalité) :
http://bloombloom.toile-libre.org/images/stories/downloads/La%20Soci%C3%A9t%C3%A9%20Industrielle%20et%20son%20Avenir%20-%20Ted%20Kaczynski.pdfet aussi :
http://www.ogmdangers.org/enjeu/philosophique/document/Bill_Joy.html-
et donc a mon avis les methodes proposés dans ce film sont pleine de "bon sentiments" mais le "système" s’en accomodera parfaitement ... par exemple quand j’entends dans le doc faire l’apologie de facebook et twitter pour combattre le système .... c’est UN COMBLE (à mon avis en tout cas)
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L ’humanité traine derrière elle la malédiction du fatalisme .
Reconnaitre ses erreurs , c’est le début de la transformation .
Le devoir de mémoire ne peut pas se comptabiliser il doit être universel pour réveiller les consciences ....-
"Reconnaitre ses erreurs , c’est le début de la transformation ."
De quels erreurs parlez vous ? et qui les a produites ? Je dois dire que je ne saisi pas le sens de votre intervention ....
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INDIGNEZ VOUS MAINTENANT........................
ET EN 2012 REVOLTEZ VOUS !!!!!!!!!
ARPONTAR-
De la violence
La violence, étrange pulsion qui peut surgir de soi, provoquée par une impression de danger venue de l’autre. C’est l’instinct de conservation qui agit par un réflexe d’alerte pour une défense de soi. C’est la violence de l’agresseur qui se mesure à la violence de l’agressé.
Deux attitudes possibles : ou la peur paralyse l’agressé, ou la réaction de conservation agira pour qu’il soit plus violent que l’agresseur afin de prétendre le neutraliser.
L’agression systématique est une anticipation de protection de soi en laquelle on exerce la violence sur l’autre que l’on considère comme un ennemi potentiel. Cette agression est généralement supportée par l’adhésion à un groupe au sein duquel l’agresseur se conforte. L’instinct grégaire renforce en ce cas la violence du sujet.
L’agression que l’on pourrait qualifier de « délibérée » chez certains sujets appartenant à un groupe ou une bande dite « extrémiste », n’est en fait que la manifestation de l’instinct grégaire qui vient à la rescousse de l’instinct de conservation pour conforter ses membres.
Il y a, à l’origine de cette attitude de violence collective, un manque de confiance en soi, un manque de personnalité, une inaptitude à accepter sa propre solitude. Le sujet d’un groupe violent est ainsi happé par une violence collective exacerbée.
Il va sans dire que des pouvoirs s’établissent dans la confrontation de deux violences subjectives ou collectives. Quand la violence se joue entre deux sujets, l’un supprime l’autre : Caïn tue Abel, Romulus tue Remus. La raison du plus violent est toujours la meilleure.
Quand la violence devient collective, un meneur, un tyran prend vite le commandement de la bande, ce que l’on peut constater dans les banlieues livrées à elles mêmes où la loi n’est autre que la loi de la jungle, retour à l’instinct animal. Le phénomène est le même en un pays où le dictateur exerce son pouvoir absolu.
A partir de ces considérations, ou on accepte cette loi de la jungle du chacun pour soi et Dieu pour tous, ou on aspire à la démocratie, à la paix, à la justice.
Il y a une dichotomie dans le comportement des hommes, toujours tiraillés entre ce que dicte l’instinct et cette aspiration à vivre sans occulter la considération de l’autre, aller vers lui et ne pas craindre sa différence pour en définitive en tirer un enseignement.
L’instinct parlant toujours en premier, il convient de lui apporter une correction qui ne va pas sans une introspection et non plus sans une notion de pardon, savoir revenir sur l’excès de réaction de notre méfiance vis-à-vis de l’autre ou sur une prise de pouvoir sur lui toujours injustifiée.
Il n’est pas question de culpabiliser le sujet mais de le renseigner sur lui-même, de lui enseigner la démocratie comme elle doit s’exercer, dans le respect de l’autre, ceci, à tous les échelons de la société.
La violence du spéculateur financier est extrême, la violence du trader, idem et l’on banalise ces violences, on les occulte en se focalisant sur les violences de banlieue plus spectaculaires mais certainement moins sournoises, plus spontanées, plus « naïves ».
La violence est le propre de l’homme en tant que mammifère primate omnivore mais elle peut être sublimée pour qu’il accède à un état supérieur spirituel qui fait appel à « l’être » dans sa construction, son ascension et non pas à « l’avoir » de manière forcenée.
Si l’on n’est pas convaincu que la richesse de l’être vaut toutes les richesses du monde, on n’est pas dans la non-violence. Si l’on n’est pas convaincu qu’il s’agit d’un engagement en lequel on doit se dépasser, on n’est pas dans la non-violence.
Comment enseigner ça dans les écoles dans un contexte de désarroi qui touche tout le monde en notre pays. Un enseignement sans exemple n’est jamais probant. Que la non-violence soit ! Que la répression ne soit plus l’unique réponse à la violence. On peut en rêver.
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